DÉSARMONS LA POLICE

Publié le par Collectif Feignasse

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Désarmons la police !
Beaucoup de monde pour une manif interdite à haut risque à Sainté, ce samedi. Heureusement nous avons tout fait pour éviter l'affrontement avec la police. On a évité le canon à eau qui nous attendait à la Préfecture avec une centaine de CRS, puis avec percussions, sono et graffiti, masqué pour un carnaval noir, on a pris des chemins détournés qu'aucune manifestation n'avait osé prendre jusqu'à présent, puis brulé un flash-ball géant en carton devant l'ancienne manufacture d'armes, suivi d'une petite visite surprise au PS du coin. Super !..

Nanar

PARADE COLORÉE SOUS PRESSION

Le « Forum pour le désarmement de la police et la démilitarisation des conflits » appelait, samedi 22 octobre 2016 à un FAMAS’tival. Une déambulation carnavalesque pour dénoncer la politique guerrière coloniale de la France et la répression des « indésirables » par les forces du maintien de l’ordre.

Interdite, la déambulation a tout de même eu lieu, malgré le bouclage du centre-ville, [la pression policière et médiatique dont ce forum était la cible] depuis quelques jours.
Les manifestant’es se sont retrouvé’es sur la Place Albert Thomas comme convenu. La plupart du matériel prévu pour le carnaval (masques en carton peint, banderoles, et char) était dans un camion dont des gardes mobiles ont interdit aux organisateurs et organisatrices d’accéder. Après que le cortège se soit amassé devant les forces de l’ordre pour réclamer la libération de ses créations carnavalesque, seul le char à l’effigie du Flash Ball a été rendu face au mouvement collectif.

La troupe costumée a donc tourné le dos au forces de l’ordre pour revenir devant la bourse du travail enfin, ou le rassemblement et les prises de paroles étaient prévues. Des porte-parole du forum ont pris le mégaphone, d’abord pour lire un communiqué en réaction à l’interdiction de la manifestation par la préfecture puis, clarifier leurs positions. Puis la secrétaire fédérale des Jeunes Communistes a lu un texte intitulé « Neutralisons la police, stoppons les guerres coloniales ». Des membres de collectifs de luttes contre les exactions policières ont ensuite pris la parole pour parler de leur combats actuels (Désarmons-les ! et Collectif 8 Juillet). Awa Traoré a ensuite pris le mégaphone pour réclamer justice pour son frère, Adama, mort pendant sa garde-à-vu d’une soi-disant asphyxie le 19 juillet dernier. L’hélicoptère de la gendarmerie faisant un vol stationnaire juste au dessus de l’attroupement durant une bonne partie des prises de paroles a rendu difficile l’écoute des intervenant’es. Malgré ce desagrement les prises de paroles ont fini par un appel à faire la fête et un beau lancé de cotillons, avant que la petite troupe ne prenne la route.

Char-Ball en tête, le cortège s’est lancé en direction de la place Chavanelle. Empruntant la rue des Martyrs de Vingré, il a rejoint l’avenue de la Libération. Direction la place Fourneyron sur fond de batucada et d’un chariot sonore. Armés de cotillons et de farine, des quelques affiches et bombes de peinture, sous un beau ciel bleu, la troupe a pris la rue Néron jusqu’au bout pour finalement déboucher sur la place Carnot. Arrivé là, tout ce petit monde a continué pour tous se retrouver devant la Cité du Design pour un grand feu de joie, brulant l’effigie de Flash Ball en carton. Sensibilisation des passants et séance photo derrière le char enflammé, il y a des traditions qu’il est bon d ne pas perdre. Et que vive le feu de Monsieur Carnaval !

Puis la joyeuse troupe a repris le boulevard urbain en suivant la direction du Clapier. Slalomant entre les voitures, le Famas’tival a tourné sur la rue du midi. Quelques manifestant’es ont rendu visite au siège local du parti socialiste d’autres éliminaient des publicités et neutralisaient des banque sur leur passage, pendant que d’autres continuaient leur déambulation. Cette parade, dans « des rues improbables » selon la Tribune, s’est finalement achevée à proximité de la place Jacquard, où les manifestant’es se sont dispersé’es.

Mis à part le face à face en début de regroupement, la police s’est plutôt faite discrète laissant la troupe se balader dans les rues stéphanoises. Tous et toutes les participant’es sont d’ailleurs ravis d’avoir ainsi pu découvrir les merveilleuses vues sur les crassiers de la Capitale du FAMAS. Cette parade, mi jeu de cache-cache mi festival s’est plutôt bien déroulée. Mais l’expérience le montre, même si les événements se passent sans encombres, des convocations au commissariat et autres réjouissances arriveront malheureusement surement plus tardivement. Elles aussi jouent à cache-cache.

https://lenumerozero.lautre.net/article3229.html#forum3174

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
SUITE À L'INTERDICTION DE MANIFESTATION


Depuis plusieurs mois, nous préparons un week end de rencontres autour de l'armement.
Des collectifs, des organisations politiques, des individu'es, se coordonnent pour que les 22 et 23 octobre se déroulent à Saint Etienne ces rencontres.

Nous attendons ce week-end des personnalités universitaires, syndicales et militantes, des familles de victimes de mutilation ou de meurtre de la police. Ils viennent rejoindre une manifestation qui était prévue dans le centre-ville le samedi après-midi et une journée de discussion et de débat avec le public le dimanche.

Le Collectif d'organisation de ce forum est composé de personnes différentes réunies par leur envie de dénoncer les guerres coloniales et les exactions policières. Nous refusons de céder à la panique, à l'état d'urgence et son tout-sécuritaire. Nous ne pouvons pas oublier que la montée des extrémismes est entre autre une conséquence de l'ingérence française au Moyen-Orient, de l'islamophobie assumée des politiques et médias français et du rapport néo-colonial de l'Etat français à ses quartiers populaires. Nous pointons la responsabilité de l'industrie française de l'armement, rentable parce que des gens meurent ici et ailleurs.

Aujourd'hui, si nous souhaitons parler de désarmement de la police et de démilitarisation des conflits, c'est pour cibler ceux qui produisent les armes qui tuent, mutilent et blessent.
C'est aussi pour questionner une logique de répression qui s'attaque d'abord aux indésirables, aux racisés, à celles et ceux qui troublent un ordre que nous estimons injuste.

Depuis quelques jours nous sommes la cible d'une campagne de provocation à la violence de la part de la préfecture et de la Mairie de Saint-Etienne, relayée par les médias locaux :
• des flyers ont été distribués à tous les commerçants. Ils spéculent sur la venue d'individus violents en centre-ville et les invitent à ranger leur mobilier ou fermer leur commerce
• les médias locaux n'ont de cesse d'évoquer des individus violents, « une ambiance de siège sur la ville »(1)
• le centre-ville a été interdit à la circulation de façon préventive, alors qu'une demande en préfecture a été déposée.

Pour couronner le tout, la préfecture a interdit la tenue de notre manifestation pendant que partout en France des manifestations d'agents de police défilent dans les rues masqués, sans autorisation aucune. Nous attaquons donc la préfecture en référé et maintenons notre appel à venir demain à 15h Place Albert Thomas, avec vos costumes et cotillons.
Nous vous invitons à venir entendre la voix de ces indésirables que le système tait, mais qui gardent le courage de faire la fête.

1)Ils viennent désarmer Armeville : tous aux abris, le progrès, Vendredi 21 octobre 2016

https://rebellyon.info/Desarmons-la-police-demilitarisons-les-16960#forum52408

RASSEMBLONS-NOUS CONTRE LES VIOLENCES
ET LES ARMES DE LA POLICE !

Parade de rue, discussions, ateliers, concerts... à St-Etienne les 22 et 23 octobre.
Depuis 1912 et les premiers gaz lacrymogènes, on voit se multiplier l’utilisation, par la police et l’armée, d’armes à létalité réduite. Plus couramment appelées « armes non-létales », elles, et le système qui les encadre, font pourtant une quinzaine de morts par an.
Grenades, Flash-Balls, Taser, la militarisation du maintien de l’ordre répond à une volonté de réprimer la moindre rébellion, la moindre résistance, la moindre déviance. Que ce soit dans les quartiers ou pendant un mouvement social, contre des sans-papiers ou des militantes, la police et la gendarmerie usent de la force armée que l’État lui octroie.
Les armes policières utilisées en France et exportées dans le monde entier, sont fabriquées sur le sol français. Verney-Carron à Saint-Étienne, Alsetex dans la Sarthe, Nobel Sport à Pont-de-Buis sont les entreprises de ce commerce juteux.
Nous voulons mener une percée dans l’imaginaire en ciblant ceux qui produisent les armes de la police. En s’interrogeant sur la logistique qui fait vivre la répression, qui la met en œuvre et en ciblant ce que cette militarisation des conflits et ces politiques de terreur signifient au quotidien sur la population.
L’année dernière un premier week-end de mobilisation a eu lieu à Pont de Buis pour pointer l’usine et sa production mortifère. Week-end d’action, de forums et de rencontres les 22 et 23 Octobre à St-Étienne.

FAMAS’tival : parade carnavalesque !

Au vu du chaos en Libye, en Syrie et en Irak, Au vu de l’occupation militaire de la Palestine, Au vu du contrôle policier et politique en Turquie et dans de nombreuses régions du monde. Attendu que la France est actrice des conflits, en tant que troisième exportatrice mondiale d’armement et avec un record de vente jamais atteint en 2015 ; Considérant que l’Etat français mène une politique intérieure de casse sociale, de discrimination, et de suspicion banalisée voire citoyenne, dont ses secteurs de l’armement et de la sécurité profitent ; Considérant que depuis les années 2000, l’arrivée des armes à "létalité réduite" a permis un durcissement de la répression envers tout-e-s celleux qui troublent l’ordre social ainsi qu’un accroissement du nombre de mort-e-s, de blessé-e-s et de mutilé-e-s.

Or c’est à St-Etienne que Verney-Carron a étendu sa production du fusil de chasse à la sécurité avec, notamment, les grenades de désencerclement et les Flash Ball.
Militant-e-s, habitant-e-s des quartiers populaires, immigré-e-s, arabes, noir-e-s, sans-papiers, Rroms, gens du voyage, zonard-e-s, manifestant-e-s (syndiqué-e-s ou non), supporters de foot ou supporters de la cause palestinienne... Nous commençons tous à bien connaître ces nouveaux outils merveilleusement conçus.
Nous nous inquiétons des décisions prises en notre nom, de la militarisation de nos espaces communs et de la construction de murs réels ou fictifs qui nous divisent.

Exprimons notre joyeux charivari dans une déambulation populaire et colorée comme antidote aux crispations nationalistes et identitaires qui sèment guerres, répressions et haine de l’Autre. Contre le nouvel ordre mondial les folklores des zones mondiales !
Venez avec vos singularités, vos déguisements, votre bonne humeur, vos instruments de musique, votre fantaisie, votre imagination et votre rage !

Samedi 22 octobre à St Etienne devant le musée d’Art et D’industrie,
place Albert Thomas à 15 h.

Tous les déguisements sont permis !

https://lenumerozero.lautre.net/article3210.html

verneycaron [1] riseup.net

 

DÉSARMONS LA POLICE, DÉMILITARISONS LES CONFLITS !

Depuis 1912 et les premiers gazs lacrymogènes, on voit se mutltiplier l’utilisaton, par la police et l’armée, d’armes à létalité réduite. Plus couramment appellées  « armes non-létales », elles, et le système qui les encadre, font pourtant une quinzaine de morts par an. Grenades, Flash-Balls, Taser, la militarisation du maintien de l’ordre répond à une volonté de réprimer la moindre rébellion, la moindre résistance, la moindre déviance. Que ce soit dans les quartiers ou pendant un mouvement social, contre des sans-papiers ou des militant’es, la police et la gendarmerie usent de la force armée que l’État lui octroie.
Les armes policières utilisées en France et exportées dans le monde entier, sont fabriquées sur le sol français. Verney Carron à Saint Etienne, Alsetex dans la Sarthe, Nobel Sport à Pont-de-Buis sont les entreprises de ce commerce juteux.
Nous voulons mener une percée dans l’imaginaire en ciblant ceux qui produisent les armes de la police. En s’interrogeant sur la logistique qui fait vivre la répression, qui la met en œuvre et en ciblant ce que cette militarisation des conflits et ces politiques de terreur signifient au quotidien sur la population. L’année dernière un premier week-end de mobilisation a eu lieu à Pont de Buis pour pointer l’usine et sa production mortifère.

Cette année nous organisons un week-end d’action, de forums et de rencontres les 22 et 23 Octobre 2016 à St Etienne.

Samedi 22 octobre

A 11 h, accueil et infos avec le café à la Gueule Noire, 16 rue du Mont à St Etienne
A 15 h, manifestation, départ au Musée d'art et d'industrie de St-Étienne, FAMAS’tival, parade costumée, animée par une visite guidée carnavalesque du patrimoine industriel de la capitale du FAMAS (Fusil d’Assault de la Manufacture de St-Etienne)
A partir de 19h, repas et concert de soutien : Tout doit disparaitre (New wave du mardi matin), Dubmentalist (porte bien son nom), DJ la tache (électro)

Dimanche 23 Octobre, au Clapier

10 h / 11 h : ateliers autodéfense (mixte/non mixte) ateliers pour une gestion non-violente des conflits par le MAN (mouvement pour une alternative non-violente)
11 h / 12 h 30 : table ronde « Le commerce et l’industrie de l’armement français » (avec l’observatoire des armements et Mathieu Rigouste)
12 h 30 / 14 h : pause
14 h / 15 h 30 : table ronde « De l’ordre colonial à l’état d’urgence permanent, évolution du maintien de l’ordre » (avec les collectifs Désarmons-les, Urgence Notre Police Assassine, Ishkashato, des militants de la cabane juridique de calais)
15 h 30 / 16 h : pause
16 h / 17 h : discussions : face à la police, face à la justice, infos pratiques (avec désarmons les street-médics, caisse de solidarité)
17 h / 18 h : assemblée de clôture.

https://desarmonslapolice.noblogs.org/


POURQUOI NOUS DÉTESTONS LA POLICE

Parce que bientôt plus un geste, plus une rue, plus aucun recoin de nos existences n'échapperont à sa surveillance, à sa manière mal embouchée de punir. Nous détestons la police, oui, parce que nous détestons le contrôle.
Nous détestons la police, parce qu'elle est cette incarnation sur le terrain de nos existences de tout ce qui veut notre bien au détriment de nous-mêmes. Nous détestons la police, oui, parce qu'en enfants perdus et joyeux que nous sommes, nous refusons toutefois d'être infantilisés.

Nous détestons la police, parce qu'elle a pour objet de nous enceindre dans une légalité qui n'a rien d'une partie de plaisir, puisqu'il est patent que la loi, en se fondant sur l'exception, ne garantit jamais la liberté mais bel et bien toujours l'exclusion. Autrement dit, nous détestons la police parce qu'elle est ce dispositif qui assure férocement le maintient de la plèbe dans une situation de survie misérable, et qu'il s'ensuit qu'elle a pour fonction principale de protéger ceux qui ont de ceux qui n'ont pas, "l'individualiste" avoir-marchand mortifère de l'être-en-commun libre et vital - nous sommes contre la police parce que de notre côté nous ne voulons que le règne égalitaire du don et du partage, et qu'aucun autre règne ne saurait trouver grâce à nos yeux.

Nous détestons la police, parce qu'elle est cet appareil de coagulation des choses telles qu'elles sont présentement, cet appareil au sein duquel dès lors rien n'est plus aimable que l'incompétence : un "bon flicard" s'avère toujours plus nuisible à la vie réelle qu'un flic inefficace. Nous la détestons, parce qu'en tant que bras armé de ce qui nous tue lentement mais sûrement, elle est l'un des principaux remparts empêchant l'effondrement d'une civilisation à l'agonie pourtant depuis près de cinquante ans.

Nous détestons la police parce qu'il n'y a d'ordre qu'injuste et inégalitaire - et d'abord injuste d'être inégalitaire -, et que nous sommes pour cette égalité sans laquelle n'existe ni justice ni liberté. Nous la détestons, oui, parce qu'elle a presque toujours été du côté des collaborations les plus funestes, parce qu'elle a permis nombre de rafles et déporté nos aïeux dans des camps, parce qu'elle a noyé certains de nos parents dans la seine, enfermé expulsé ou tué nos ami.e.s, parce que nous n'oublions ni Mesrine ni Baader ni Meinhof ni Malik Oussekine, ni Rémi Fraisse ni Zied et Bouna, ni non plus tant d'autres qui chaque année se pendent soi-disant aux radiateurs des commissariats, et nous en passons.

Bref, nous détestons la police, oui, parce qu'entre la vie que nous exigeons et la misérable survie à laquelle présentement l'Empire-marchand nous assigne, celle-ci sera toujours cet obstacle qui nous fait face afin de sauvegarder la seconde, et plus encore maintenant qu'elle est à son crépuscule.

Enfin, parce que la police est la pseudo-paix réellement armée pour la guerre "sociale", nous assumons ici de nous organiser contre elle pour assurer notre auto-défense.

L'A.E.C., le 18 octobre 2016
 
 

Ce texte est tiré d'un autre (dont nous ignorons l'origine) que nous avons légèrement modifié, notamment en remplaçant "nous haïssons" par "nous détestons", parce que de notre côté nous ignorons la haine, laquelle par ailleurs nous semble toujours plus excessive que radicale. Que la détestation nous suffise, c'est l'évidence, et la colère qui l'accompagne.


http://ecoeuretcuisine.canalblog.com/archives/2016/10/18/34455322.html

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La manif interdite aura bien lieu !

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