120 PLUS 750 MILLIARDS D'EUROS POUR LES MARCHÉS ET LE RACHAT DE DETTES

Publié le par Collectif Feignasse

 

La création monétaire gigantesque (on fait généralement référence à la «planche à billets») se traduit par une dévaluation de la monnaie, à savoir de l’inflation. Le pouvoir d'achat de la monnaie chute au fil des ans. C'est un autre coût supporté par le citoyen.

La logique de soutien illimité des banques centrales aux marchés financiers, sans commune mesure avec le reste de l’économie, fait encore gagner trop d’argent aux acteurs du secteur.

Autant dire que cette crise ne laisse que très peu de traces sur la bourse, alors même qu’elle provoquera une récession dans l’ensemble de l’économie mondiale, et des millions de pertes d’emplois dans le monde développé.

L’économie réelle se retrouvera face à ses pertes, ses dettes, son chômage, l’économie boursière est protégée des pertes, et administrée par la planche à billets aux frais du contribuable.

Myret Zaki (extraits)
https://www.bilan.ch/opinions/myret-zaki/coronavirus-ou-la-faillite-de-la-logique-marchande

 

 

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