RÉSISTE, PROUVE QUE TU EXISTES !

Publié le par Collectif Feignasse

Il y a d’abord ce discours « officiel », indécemment simpliste, abêtissant : « Protégez-vous », dit-il, « protégez les autres », surtout « restez prudents »… Parti pris du toujours pire à venir, du souverain « Nous sommes en guerre », ne souffrant pas la plus petite contradiction. Illusion imposée, réalité travestie : « L’ennemi est partout, il est invisible », « vous êtes en danger »…
Ce discours à tout bout de champ rabâché, dont l’omniprésence frise l’obscénité, cherchant sans cesse à s’insinuer dans nos cinq sens : télévision et radio, internet et métro, halls de gare, autoroutes, affiches, ici, là, partout, tout le temps.

Cette voix assourdissante qui vous somme de vous plier à sa règle, vous demande aujourd’hui, vous demandera demain, de vous faire inoculer son vaccin, sans voir, sans comprendre, sans poser de question, sans broncher. Mais en faisant confiance, à « l’institution », aux « tutelles », vous savez ?… Celles-là même devenues le terrain de jeu d’une tricherie à grande échelle, d’un lobbying décomplexé et d’une corruption galopante. Depuis plus d’un demi siècle, leur gangrène exposée sans pudeur à notre cécité, elles sont le théâtre de scandales sanitaires majeurs, qui se suivent et se ressemblent, et au cours desquels les morts et les blessés se comptent par dizaines voir centaines de milliers, quand on arrive à les compter : amiante, distilbène, hormone de croissance, sang contaminé, opioïdes, etc, etc.

Et puis, il y a cette autre voix, presque inaudible, qui ne nous appartient pas, mais que nous avons choisi de porter. C’est celle de la raison, et de la prudence, celle-là qui est le fondement même de toute démarche médicale et thérapeutique, et dont toute la force tient en une formule, que vous connaissez maintenant : « Primum non nocere ».
Parce que plus qu’un autre le soignant sait que « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et qu’à trop vouloir bien faire, il peut en faire parfois trop, précipitant la chute du patient venu lui demander secours. « D’abord ne pas nuire », et si tu n’es pas sûr de faire plus de bien que de mal, alors abstiens-toi, par respect, et par humilité. Attends, surveille, accompagne. Mais abstiens-toi.

QUAND LE MÉDECIN S’ABSTIENT, L’INDUSTRIEL TRÉPIGNE

Car il est un fait dont l’évidence devrait nous écorcher les yeux : les intérêts de l’un ne recouvrent en rien les intérêts de l’autre. Et la divergence n’est pas exclue.
Quand l’un cherche à soigner, l’autre cherche à vendre. La santé est la priorité de l’un, le bénéfice pécuniaire la priorité de l’autre. Nous affirmons que cet état de fait devrait être pris en compte, sous la forme d’une régulation stricte et indépendante. Et dire cela n’est en rien diaboliser le commerce, activité fondamentalement humaine et qui peut s’exercer de façon vertueuse.

Aujourd’hui nous avons pris l’habitude de déléguer notre pouvoir de jugement. Nous achetons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Nous prenons des médicaments, parce qu’on nous dit qu’il le faut. Mais « on » est un con , pas vrai ?…
Nous choisissons d’offrir notre confiance à un médecin. Et ce médecin choisit d’offrir sa confiance à des tutelles : agences du médicament, HAS, etc. Et ces tutelles choisissent d’offrir (ou de vendre ?) leur confiance aux industries du médicament. Mais tous ces délégataires… sont-ils dignes de la confiance qui leur est accordée ?
Les industries du médicament à une extrémité de la chaîne. Nous à l’autre. Face à cet inquiétant ballet, nous ne voulons plus croire, nous voulons voir. Parce que c’est le concept même de Santé qui se joue là.

PRIMUM NON NOCERE

Nous voulons porter cette voix de la raison, cette voix de la prudence. Cette voix qui affirme que si le virus SARS-CoV-2 engendre parfois une pathologie grave appelée COVID, les chiffres de l’épidémiologie montrent que l’immense majorité ne risque rien. Et que rien ne saurait justifier l’administration précipitée à toute une population saine d’un remède dont ni l’efficacité, ni la dangerosité, n’ont été étudiées de façon sérieuse et approfondie.
Nous portons cette voix qui affirme que s’il existe aujourd’hui une seule urgence, c’est bien celle de sortir d’un état d’urgence artificiellement entretenu, et celle de commencer à nous écouter.

https://reinfocovid.fr/editoriaux/ecoute-edito-7-janvier-2021/

 

SURVEILLANCE VIROLOGIQUE DES INFECTIONS RESPIRATOIRES AIGÜES

Circulation du SARS-CoV-2 (COVID-19) et rhinovirus
Pas de circulation active des virus grippaux

Depuis la semaine 2020s37 (début septembre), 543 patients présentant une IRA vus en consultation de médecine générale et pédiatrie ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelles (prélèvements essentiellement naso-pharyngés). Ces prélèvements sont testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.

Concernant la COVID-19, le taux de positivité au SARS-CoV-2 (COVID- 19) était en légère augmentation en semaine 2020s52, mais aucun prélèvement ne s’est révélé positif parmi les échantillons prélevés la semaine dernière (2020s53) (semaine du 28/12/20 au 03/01/21).

Concernant la GRIPPE, un seul prélèvement a été testé positif pour un virus grippal depuis la reprise de la surveillance début septembre. Il s’agissait d’un virus de type B (lignage Victoria), isolé début décembre (2020s49). Le patient était porteur d’une co-infection grippe B - rhinovirus.

En semaine 2020s53, 17 patients présentant une IRA vus en consultation de médecine générale ou pédiatrie ont été prélevés :
- 3/13 (23,1%) étaient positifs au hRV
(données consolidées pour la semaine précédente 2020s52 : 4/18 (22,2%)).
- Aucun n’ était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés)
(données consolidées pour la semaine précédente 2020s52 : 3/18 (16,7%)).
- Aucun n’était positif pour un virus grippal (0/13 testés)
(données consolidées pour la semaine précédente 2020s52 : 0/18 (0,0%)).

https://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=bulletin

L'ÉPIDÉMIE IMAGINAIRE

Salim Laïbi, La Tribune REINFO 6/01/2021
https://odysee.com/@Reinfocovid:2
https://www.reinfocovid.fr

https://youtu.be/1PUKruNLAhc

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article