PAS DE PRINTEMPS EN PRISON

Publié le par Collectif Feignasse

 

Le confinement c’est fini !

Face à ces singuliers médecins qui considèrent que le soleil et le grand air sont mauvais pour la santé et qui veulent nous enfermer soi-disant pour notre bien, comme si, telles des taupes ou des vers de terre, nous devions rester parqués dans nos tanières et ne sortir de la pénombre de nos maisons que pour aller travailler et faire des courses, alors même, que selon l’aveu de Véran et co, c’est essentiellement dans nos maisons que circule le virus.

Face à ces épidémiologistes tortionnaires, dont toutes les prédictions se sont avérées fausses et qui continuent à nous expliquer que, si on ne suit pas leurs mesures, ce sera l’Apocalypse, alors même que confinement et couvre-feu sont des mesures strictement policières et militaires, n’ayant aucune efficacité sur le plan sanitaire.
Face à des scientifiques opportunistes, qui nous menaçaient d’un cataclysme si un troisième confinement n’était pas appliqué en février et qui dénonçaient comme une « mesurette » le couvre-feu, et qui nous expliquent aujourd’hui que celui-ci fonctionne « parfaitement bien », mais qui nous annoncent de nouveau un cataclysme si on n’applique pas un nouveau confinement en mars, à Pâques ou à la Trinité…

Face, surtout, à une classe d’hommes politiques (président, députés, ministres, préfets, maires…) arrogants, vils et méprisables, qui continuent imperturbablement à prôner l’application de mesures totalement inutiles et inefficaces sur le plan sanitaire en nous expliquant que ce n’est pas le « remède » qui est mauvais, mais le patient qui n’est pas obéissant… Des hommes politiques qui se servent, en réalité, de cette épidémie comme un prétexte pour détruire tous nos droits et nos libertés, pour nous infantiliser, nous paralyser, nous empêcher de vivre, de respirer, de lutter, et qui comptent bien éponger la dette financière et la crise sur notre dos.

Nous déclarons : pas question de revivre le printemps ou l’automne 2020. Pas question de nous enterrer vivants. E finita la commedia ! Vous ne nous aurez pas une nouvelle fois. Nous allons sortir, nous retrouver, nous allons nous rassembler, parler, résister, vivre : nous ne nous soumettrons plus à vos décrets mortifères.
Nous ne sommes pas des vampires, nous n’avons pas peur de la lumière du jour. Le printemps est là et il nous appartient. Vous êtes le virus, et nous sommes les vivants. Vous êtes la maladie, et nous sommes le remède. Vous êtes le bateau en perdition et nous sommes la tempête. Vous êtes la nuit et nous sommes le jour. Vous êtes l’hiver et nous sommes les oiseaux du printemps qui vient.

Contre les voleurs de printemps : la liberté ne se donne pas, elle se conquiert !

Signé : Les oiseaux du printemps

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